Comprendre le NEUROFEEDBACK DYNAMIQUE

Interview de David DOUCOT, contact@ilnd.fr
- Neurothérapeute et Neuropraticien.
(Membre de l'ADNF, UPND et ISNR)
- Praticien de Neurofeedback (dit de première génération)
et de Neurofeeback dynamique système Neuroptimal - "Advanced Trainer" (Zengar Institute)

- PsychoPraticien
- Praticien de Sujok (manupuncture Coréenne) 
Diplôme du Research and Development Institute of Holistic Healing affilié au Open International University for Complementary Medicines, Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
- Praticien de Dienchan (reflexothérapie faciale et crânienne vietnamienne) R.E.F Niveau 3
- Praticien d'acupression Japonaise Amma Shin dô - Touchline




Notre cerveau  est constitué de plusieurs milliards de cellules, les neurones, reliées entre elles par les synapses. Le fonctionnement de ces cellules, par échanges continus d'informations (libération de neurotransmetteurs) induit une activité électrique mesurable par l'électroencéphalogramme.


Il existe 2 grandes familles de neurones : les neurones excitateurs qui activent les neurones suivants et les neurones inhibiteurs qui freinent l'activité des neurones excitateurs. Pour fonctionner normalement, notre cerveau a besoin d'un certain équilibre entre ces différents neurones. c'est lorsque le déséquilibre s'installe qu'il y a turbulences.
Sous la contrainte, l'impulsion traumatique (angoisse, peur, anxiété...), les synapses se détachent irrémédiablement des neurones voisins, ce qui provoque un manque de fluidité de l'information, des blocages. C'est alors tout le corps qui est fragilisé. L'auto-régulation naturelle  se trouve chahutée,  le cerveau n'arrive plus  à gérer le flux d'informations, ce qui occasionne des pensées, des attitudes ou des actions inappropriées.

Notre cerveau a, fort heureusement, une grande capacité de résilience (capacité à reprendre sa forme, ses capacités initiales) et va pouvoir travailler à un retour à la normale en reconstituant des réseaux neuronaux qui permettront un détournement de l'information. Le neurofeedback va l'y aider. 
Il aide ainsi le cerveau à mieux s'organiser et à fonctionner harmonieusement grâce à des mesures d'ondes cérébrales (électroencéphalogramme) et à la correction par un logiciel des fréquences endommagées.
Par le son et par l'image, le cerveau sera particulièrement sollicité alors même que les capteurs permettront d'identifier les zones de turbulences (EEG). C'est alors que le logiciel provoquera une réaction du cerveau grâce à de micro-coupures de la bande-son. L'information sera alors immédiatement et spontanément détournée afin d'être intégrée. C'est par la répétition du phénomène (protocole de 6 séances) que le cerveau pourra mettre durablement en mémoire ce nouvel itinéraire à emprunter.

On pourra utiliser le neurofeedback dans des cas nombreux et variés : stress post-traumatique, dépression, épilepsie, insomnie, les troubles DYS, Trouble déficitaire de l'attention, trisomie, autisme... avec un socle commun de bénéfices tels que la diminution du stress, l'amélioration du sommeil, et l'amélioration de la concentration. Le neurofeedback dynamique est aujourd'hui la seule alternative à la prise de RITALINE dans les cas de TDA avec ou sans hyperactivité !

Pour plus d'informations : www.ilnd.fr

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